dimanche, mai 15, 2011

Colloque d'Avignon Travail et création artistique en régime numérique et nouvel article












Le 25 mai à 11h, je présente une communication intitulée " quand l'amateur rend le numérique analogique" lors des journées intitulées Travail et création artistique en régime numérique. Ce colloque se tient du 24 au 27 mai à l'Université d'Avignon et s'accompagne de plusieurs manifestations dans la ville.
Par ailleurs, ma recension du (passionnant) livre de Catherine Pessin sur la microélectronique à Grenoble, publiée dans la Revue d'Anthropologie des Connaissances, est en ligne ici


mardi, avril 12, 2011

Nouveau livre, cycle de films à Paris et rencontre le 29 avril
















Le 20 avril, les Éditions Armand Colin publieront mon nouveau livre (réalisé en collaboration avec Giulia Conte pour la partie iconographique) :
Les stars du rock au cinéma. Le livre s'intéresse à la façon dont une série de rock stars américaines et britanniques, célébrées et/ou oubliées, ont participé à des films et plus généralement à l'apport des rock stars au cinéma. Publié dans la collection Albums Cinéma dirigé par Michel Marie, l'ouvrage comprend un grand nombre d'illustrations ; photos de tournages, photos de plateau, affiches d'époque, pochettes de de disques etc.
Télécharger l'introduction et le 1er chapitre
  • À cette occasion, je présenterai le film de Jim Jarmush Down by Law (avec notamment Tom Waits et John Lurie) et le livre le 29 avril à 20h au cinéma Grand Action 5 rue des Écoles Paris 75005 à 20 h.
  • Par ailleurs du 27 avril au 2 mai le même Grand Action présente chaque jour un film et une star évoqués dans le bouquin. Certains films sont très rares (par exemple Stop Making Sense de Jonathan Demme avec les Talking Heads ou la Cicatrice Intérieure de Philippe Garrel avec Nico), d'autres bénéficient de copies neuves comme Performance (de Donald Cammel et Nicholas Roeg avec Mick Jagger et Anita Pallenberg) ou Two-Lane Blacktop de Monte Hellman (admirable film avec James Taylor et Dennis Wilson). Voici le détail de la programmation :
JAILHOUSE ROCK (Le Rock du bagne) de Richard Thorpe
mercredi 27 avril 14h 16h 18h 20h 22h
STOP MAKING SENSE de Jonathan Demme
Jeudi 28 avril 14h 16h 18h 20h 22h
DOWN BY LAW
de Jim Jarmush
Vendredi 29 avril 14h 16h 18h 20h (soirée signature cocktail)
ALICE DOESN'T LIVE HERE ANYMORE (Alice n'est plus ici) de Martin Scorsese
Samedi 30 avril 14h 16h30 19h 21h30
MACADAM A DEUX VOIES (Two-lane blacktop) de Monte Hellman
Dimanche 1er mai 14h 16h 18h 20h 22h
PERFORMANCE de Nicolas Roeg et Donald Cammell
Lundi 2 mai 16h30 19h 21h30
LA CICATRICE INTERIEURE de Philippe Garrel
Mardi 3 mai 14h 15h15 16h30 17h45 19h 20h15 21h30 22h45

mercredi, mars 16, 2011

Plein feux sur le rock ; le 28 mars à Avignon
















À l'invitation de la Bibliothèque Universitaire d'Avignon et dans le cadre de la manifestation plein feux sur la poésie qui se déroule actuellement, je présente une conférence intitulée "les feux du rock" dont voici la présentation :
Dès ses débuts, au milieu des années cinquante, la musique rock a été associée à l'énergie, l'intensité et parfois même l'excès. D'une façon générale et pour employer le langage faustien, le rock résulte d'un pacte entre les auditeurs, les artistes et les techniciens et l'électricité, une force qui permet aussi bien de produire des artifices que du naturel. Cette conférence assortie d'extraits musicaux et de films s'intéressera justement à la « nature » de ce pacte, à ses manifestations et à sa généalogie.
Ce sera donc le lundi 28 mars à 17 h (Vidéothèque, Bâtiment Sud) à l'Université d'Avignon

mercredi, mars 02, 2011

9 mars à Paris : la dimension culturelle de la métropolisation francilienne





















La dimension culturelle de la métropolisation francilienne : tel est le titre du séminaire (public) organisé par le programme interministériel de recherche Culture et Territoires en Ile de France le 9 mars à l'Institut National de l’Histoire de l’Art (INHA)
Auditorium de la galerie Colbert 2, rue Vivienne - 75002 Paris - Métro : Bourse

Comme deux autres chercheurs -euses (Gwenaële Rot et Ludovic Halbert) j'y présenterai les deux recherches de terrain que j'ai menées pour ce programme : l'une sur l'apprentissage des musiques populaires (en 2005/2007) et l'autre sur le blogging musical (2008/2010). Des acteurs des politiques publiques, et d'autres universitaires dialogueront avec nous lors de trois tables rondes dont voici ci-dessous les intitulés et les horaires.



La dimension culturelle de la métropolisation francilienne
Interroger les dimensions culturelles de la métropolisation francilienne, tel est l’enjeu du programme de recherches territorialisées“ Culture et territoires en Ile-de-France ” lancé en 2003. Les travaux menés dans ce cadre peuvent en effet alimenter les réflexions actuelles sur le Grand Paris autour de deux aspects constitutifs de la métropolisation : la contribution de la
culture aux nouvelles dynamiques économiques, à la fois globales et territoriales, dans lesquelles la créativité joue un rôle désormais reconnu et le rôle de la culture dans les transformations de
l’organisation spatiale d’une région urbaine caractérisée par la très forte centralité urbaine et culturelle parisienne. Conçu comme un moment de débat entre chercheurs et acteurs des politiques culturelles, de développement économique et d’aménagement, le séminaire vise à
renouveler l’approche des enjeux culturels de la métropolisation francilienne en prenant le parti
de proposer trois discussions thématiques particulières, avec le risque, assumé, de laisser dans
l’ombre d’autres pistes d’analyse.

9 H ACCUEIL
9 H 30 OUVERTURE
Muriel Genthon, Directrice régionale des affaires culturelles d’Île-de-France
Emmanuel Raoul, Secrétaire permanent du Plan Urbanisme Construction Architecture

INTRODUCTION DU SÉMINAIRE
Renaud Epstein : Univ. de Nantes

10 h
TABLE RONDE 1 : ▪ Faut-il encore équiper la métropole ?
Des équipements culturels, il est attendu qu’ils contribuent dans un même mouvement à la démocratisation et à l’excellence culturelle, à la production d’une identité locale et d’une image attractive à l’extérieur. Autant d’attentes qui méritent d’être interrogées dans un contexte métropolitain marqué par le maillage fin assuré par de tels équipements collectifs, la concurrence des événements culturels et l’importance croissante de l’équipement numérique
individuel dans les processus de création et de diffusion. Au-delà, de nouveaux équipements,
dédiés non plus aux publics mais aux professionnels des industries créatives, n’apparaissent-ils pas dans le paysage culturel francilien, et avec quelles conséquences ?
Chercheurs : Gwenaële Rot (Univ. Paris Ouest Nanterre), François Ribac (Univ. de Metz, 2L2S)
Discutant : Gilles Jeannot (ENPC - LATTS)
Grand témoin : José Manuel Gonçalves (directeur du “ 104 ”)
11 h 15
PAUSE

11 h 30
TABLE RONDE 2 : ▪ Les acteurs et les réseaux de la ville créative
La thématique de la “ ville créative ” connaît un vif succès dans les politiques culturelles, d’aménagement urbain et de développement économique conduites dans la région, alors même qu’un certain flou demeure quant aux liens entre métropolisation et processus créatifs. Les recherches du programme permettent de clarifier la notion de métropole créative, en révélant l’importance des réseaux sociaux et techniques au travers desquels s’opère la traduction de la créativité métropolitaine en oeuvres artistiques et produits culturels.
Chercheurs : François Ribac (Univ. de Metz, 2L2S), Ludovic Halbert (ENPC – LATTS), Amanda Brandellero (Univ. d’Amsterdam). Discutant : Charles Ambrosino (Institut d’Urbanisme de Grenoble). Grand Témoin : en attente de confirmation
12 h 45
DÉJEUNER
14 h 30

TABLE RONDE 3 : De l’administration des affaires culturelles à la gouvernance métropolitaine des activités créatives"
Si les pratiques culturelles gagnent probablement à ne pas être gouvernées, la prolifération organisationnelle et la fragmentation corollaire des ressources de la métropole francilienne, la complexité et la labilité des problèmes qui s’y manifestent posent des défis majeurs à l’action publique. Les enjeux de l’intervention culturelle dépassent aujourd’hui le soutien à la création artistique et la démocratisation de l’accès aux oeuvres. Au-delà de l’institution d’un certain ordre culturel (prescription), il s’agit désormais de réguler le désordre (intermédiation) en articulant de multiples initiatives publiques et privées, pour construire une capacité d’action collective dans la métropole.
Chercheurs : Ludovic Halbert (ENPC – LATTS), Gwenaële Rot (Univ. Paris Ouest Nanterre)
Discutant : Patrick Le Galès (CNRS-Sciences Po), Grand Témoin : Françoise Billot (Directrice du Pôle ressources d’Arcadi)

16h / 17 h
SYNTHÈSE ET DÉBAT

mercredi, février 16, 2011

rock et cinéma (encore et toujours)

En 2004, j'ai dirigé un numéro de la revue Volume consacré aux relations entre le rock et le cinéma. Ce numéro spécial est sorti en même temps que je programmais un cycle de films au cinéma l'Entrepot dans le cadre du Festival Paris-Cinéma (qui a par ailleurs largement financé le numéro de Volume).
Les éditions Mélanie Seteun ont récemment mis en ligne l'intégralité des articles signés (par ordre d'apparition) par des musiciens, des critiques de cinéma, des cinéastes, des universitaires, des journalistes :

François Ribac (compositeur et à l'époque apprenti sociologue)
François Ribac et Thierry Jousse (cinéaste et critique)
Jérome Didelot (du groupe Orwell)
Cyril Neyrat (critique)
Jean-Marc Leveratto (universitaire)
Christian Bart (universitaire)
Laurent Jullier (universitaire)
Serge Grünberg (écrivain et critique)
Claudine Eizykman (réalisatrice et universitaire)
Philippe Le Guern (universitaire et musicien)
Sylvain Siclier (critique)
François Gorin (critique)
Le sommaire et tous les articles à télécharger sont ici

mardi, janvier 04, 2011

Rock et cinéma : conférences à Rouen en janvier/février
















Menu de rentrée

Une conférence le 15 janvier 2011 à 15 h à Rouen au 106
-la toute nouvelle salle de rock- sur la filiation rock et cinéma suivie de la projection de Welcome To Portishead un passionnant documentaire de Pascal Signolet de 1998.

Deux présentations de films toujours à Rouen les 25 janvier et 1er février à 19 h 15 mais cette fois-ci au cinéma Omnia (lui aussi récemment ouvert)

Le 25 janvier à 19 h 15 : Stars du rock en personnages de fiction

PERFORMANCE
De Donald Cammell et Nicolas Roeg - 1970, Royaume-Uni, 1h45 - Avec James Fox, Mick Jagger, Anita Pallenberg, Michèle Breton.
DOWN BY LAW
De Jim Jarmusch - 1986, Allemagne, Etats-Unis, 1h43 - Avec Tom Waits, John Lurie, Roberto Benigni.

le 1er février à 19 h 15 : On The Road

DIG!
Documentaire de Ondi Timoner - 2004, Etats-Unis, 1h47 - Avec les groupes The Dandy Warhols et The Brian Jonestown Massacre

MACADAM A DEUX VOIES
De Monte Hellman - 1971, Etats-Unis, 1h42 - Avec James Taylor, Warren Oates, Laurie Bird, Dennis Wilson (batteur et chanteur des Beach Boys)

Les horaires, itinéraires et présentations sur les sites du 106 et de l'Omnia

lundi, octobre 25, 2010

Rapport de recherche disponible en ligne

















Mon rapport de recherche intitulé “Ce que les usagers et Internet font à la prescription culturelle publique et à ses lieux : l’exemple de la musique en Ile de France” est désormais disponible en ligne sur le blog consacré spécifiquement à cette recherche ici ou en cliquant sur ce lien.
Cette étude, menée depuis trois ans, a été commandée par le programme interministériel “Culture et territoires” et avec l'aide (précieuse) d'Andreï Mogoutov dont les logiciels ont été particulièrement efficaces pour collecter et analyser des données receuillies sur le Web. Plus généralement, je remercie vivement tous ceux et celles qui ont bien voulu m'accompagner lors de cette enquête et/ou me donner de leur temps.


Résumé du projet de recherche -“Ce que les usagers et Internet font à la prescription culturelle publique et à ses lieux : l'exemple de la musique en Ile de France”-

1 Objectifs et méthodes du projet de recherche

Ce projet de recherche a pour objectif de (mieux) cerner ce que la redéfinition en cours de l'espace public -induite par Internet et l'irruption des usagers- fait à la prescription culturelle publique et à ses lieux. Pour cela, deux formes émergentes de partage et de prescription de musiques sur Internet ont été étudiées tout au long de l'année 2009 et début 2010 : les blogs musicaux et les forums de discussion et d'échanges de musiques.

Après une série de repérages menés dès 2008 et des prises de contacts, un panel de vingt-six personnes (vingt-quatre blogueurs et blogueuses et quatre adhérents à des forums*) et de trente deux-sites a donc été composé et des entretiens semi-directifs (réalisés en face-à-face ou en ligne) ont été effectués en 2009. À l'exception de deux blogueurs, la totalité du panel résidait en Ile de France où y entretenait des relations. En complément des entretiens, des observations de la blogosphère musicale, comprenant les sites du panel, ont été régulièrement menées, un travail de veille qui a été soutenu par le recours à des logiciels capables de collecter des données se rapportant à l'activité des blogs en ligne et de les trier. Ce choix méthodologique a permis de disposer de nombreuses données quantitatives et notamment de mesurer l'audience et la réputation des sites.

Enfin, un blog dédié à la recherche rendait compte de l'avancement des travaux et permettait tout à la fois de dialoguer avec des internautes ou des blogueurs et d'informer l'équipe de “Culture et Territoires” de l'avancement du projet de recherche.

Deux objectifs principaux avaient été fixés.

Premièrement, il s'agissait de documenter le plus précisément possible les modalités -technologiques, spatio-temporelles, linguistiques, sémantiques, relationnelles- par lesquelles des amateurs d'Ile de France en venaient à fonder, animer et/ou fréquenter des plate-formes et comment ils (elles) animaient leur propre plate-forme et/ou s'inséraient dans des sites existants.

Deuxièmement, il s'agissait d'examiner si ces plate-formes s'intéressaient, et si oui comment, à la vie musicale en Ile de France puis d'examiner leur éventuel impact sur les formes de prescription publique et tout particulièrement les lieux dédiés à des spectacles musicaux.

2 Résultats

L'enquête a tout d'abord permis de documenter les parcours des blogueurs et blogueuses du panel. L'observation a montré que toutes et tous étaient des passionné-es de musique avant de s'investir en ligne et que, dans ce cadre, ils et elles avaient pour la plupart déjà mené une activité ayant une certaine relation avec le blogging : la littérature, la radio, le théâtre, les groupes rock, le journalisme. Par ailleurs, les données recueillies en ligne grâce aux logiciels, comme celles fournies par les membres du panel, ont montré une activité générale extrêmement fournie, parfois même d'une très grande intensité. D'autre part, l'étude a également montré que les plate-formes de blogs (hors forums) pouvaient être classifiées en trois typologies : des sites traitant fortement de l'actualité musicale (nouveaux disques, tournées, livres, films, expositions), des sites presque entièrement consacrés à l'histoire de la musique et au patrimoine discographique et des plate-formes plus hybrides à mi-chemin entre ces deux pôles.

En parallèle à ce point, on a pu vérifier que plus les sites étaient connectés à l'actualité et surtout publiaient régulièrement (c'est-à-dire avec des logiques comparables à celles de la presse traditionnelle) et plus leur audience, leur réputation et leur fréquentation par les internautes tendaient à s'accroître. Ceci expliquant cela, nous n'avons pas tardé à constater que les blogs les plus actifs et reconnus sur la Toile étaient identifiés par les professionnels de l'industrie musicale (labels de disques, managers et tourneurs, salles de spectacles), les lieux publics parisiens et situés en banlieue, des agences spécialisées dans le marketing en ligne et la presse nationale. Ce premier constat a été complété par deux autres.

Premièrement, qu'une partie significative de la blogosphère musicale animée par des franciliens (et nombre des membres du panel) se retrouvait régulièrement à Paris non seulement à l'occasion de concerts, de rencontres informelles mais aussi de soirées organisées conjointement par des agences, un blogueur et d'autres professionnels. En parallèle, nous avons découvert sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook une sorte de plate-forme permanente d'échanges impliquant – là encore- de nombreux blogs.

Deuxièmement, si certains blogs rendaient non seulement compte de l'actualité musicale à Paris (dans des lieux publics ou privés) et au-delà, plusieurs d'entre eux organisaient aussi des événements à Paris avec des salles de spectacles, des particuliers, des bars et plus généralement nouaient des partenariats avec des médias (Arte pour l'une des plate-formes), des magazines, des lieux, des festivals. Activités qui concernaient toutes sortes de musiques (classique y compris). L'enquête a donc montré sans conteste que la centralité parisienne s'exerçait également sur le Web. Conséquemment et compte tenu de ces multiples liens entre le monde numérique et l'univers physique, on a proposé l'idée que le territoire devait être considéré comme un continuum.

Enfin, l'étude a montré également qu'une série de plate-formes indépendantes peu ou pas connectées à la blogosphère musicale parisienne et à l'actualité culturelle, proposaient aux internautes de découvrir des “répertoires de niches” souvent très rares et par ce biais construisaient des réseaux beaucoup plus internationaux que strictement francophones. Si ces plate-formes sont moins ou pas du tout repérées par les professionnels et les lieux publics, elles assurent néanmoins une sorte de veille et de travail prescriptif qu'on peut apparenter à celui des médiathèques publiques et/ou à l'histoire de la musique.

3 Conclusion

En conclusion, on constate effectivement que la blogosphère musicale, ou tout du moins une de ses déclinaisons, a un impact certain sur le territoire d'Ile de France et en tout premier lieu à Paris. Par ailleurs, il semble évident que l'activité des blogs génère des modes de sociabilités originaux et concerne des domaines souvent délaissés par les politiques publiques ou les diverses composantes de l'industrie musicale. D'une façon générale, il est important de noter que le blogging, qui fédère une audience significative en ligne et peut même déboucher sur des collaborations avec des professionnels (d'entreprises publiques comme privées), est pratiquement entièrement amateur et semble destiné à le rester.

Pour toutes ces raisons, il semblerait important que les responsables de la politique publique considèrent la blogosphère musicale comme un acteur significatif dont le fonctionnement devrait inspirer la réflexion publique sur les dynamiques culturelles dans l'espace urbain et le statut de la prescription.


* Certaines personnes étaient à la fois membres de blogs et d'un forum