mercredi, novembre 02, 2011

Cinéma et culture rock : le 30 novembre à Nantes
















Prochaine intervention le 30 novembre 2011 à 18 h à la Médiathèque Jacques Demy

À l'invitation de Nicolas Thevenin, qui anime notamment l’émission de cinéma Travelling Avant de Jet FM, François Bégaudeau, Christophe Geudin, Jean-Emmanuel Deluxe et moi même discuteront des relations cinéma/rock.
À 2o h 30, le film documentaire Noise d’Olivier Assayas, (Carte blanche 2005 du festival Art Rock de St-Brieuc) sera ensuite projeté.
Cette table ronde s'insère dans une thématique sur le rock et la littérature dont les détails sont ici



Le 30 novembre à 18 h
à la Médiathèque Jacques Demy, 24 quai de la Fosse. Nantes. Tél. : 02 40 41 95 95
Tram ligne 1 : arrêt Médiathèque, Bus 11 : arrêt Graslin





dimanche, octobre 23, 2011

le 28 octobre au Palais de Tokyo (à Paris). Le studio des Beatles : (petite) archéologie d'un paradigme qui dure encore


Le 28 octobre à partir de 19h se déroulera Reboot 7, une causerie consacrée à l'histoire de l'enregistrement. Sous la houlette de Bastien Gallet, Oliver Lamm, (musicien et journaliste), Matthieu Saladin (universitaire et musicien) et moi-même évoqueront des équipes, dispositifs et lieux qui -du point de vue de ceux qui en parleront- permettent de mieux comprendre ce qu'enregister veut (voulait-voudra- -dire.

La présentation de mon intervention (d'une demi heure) ? Si fait ;

« Le studio des Beatles : (petite) archéologie d'un paradigme qui dure encore » par François Ribac
Vers le milieu des années soixante, un groupe de pop britannique a élaboré avec des techniciens astucieux, des musiciens invités, un producteur et d'innombrables objets techniques une façon spécifique de produire de la musique.
Pour l'essentiel, cette méthode consistait à composer à l'intérieur d'un studio d'enregistrement, dans une temporalité étirée et en considérant les outils techniques comme des alliés. Comme des danseurs observent dans le miroir pendant que les professeurs et/ou les chorégraphes leur indiquent les bons mouvements, l'équipage Beatles a utilisé les magnétophones pour réfléchir à ce que ses divers membres préconisaient et imaginaient. Comme dans la toile L'atelier du Peintre de Courbet, le studio d'enregistrement devint alors l'endroit où l'on mobilise ses souvenirs et ses envies présentes plutôt qu'un notaire chargé (chose de toute façon impossible) de reproduire ce qui a déjà été répété auparavant.
Dans un premier temps, et à partir d'exemples sonore et visuels, je montrerai comment la musique circulait dans les circuits et s'inscrivait sur les bandes d'Abbey Road (le nom du fameux studio et du dernier disque du groupe). Après quoi, je m'intéresserai aux origines culturelles techniques de cette façon de faire, puis enfin à ses (innombrables et épatants) héritiers.

C'est donc à l'auditorium mobile du Palais de Tokyo, 13, avenue du Président Wilson, Paris, le 28 octobre à partir de 19 h.

Accès
Métro Iéna
Bus 32, 42, 63, 72, 80, 82, 92
RER C, Pont de l’Alma
Informations
+33 1 47 23 54 01

mardi, octobre 04, 2011

18 octobre 2011 : Les stars du rock au cinéma... à Dijon


















À l'invitation de l'historien Philippe Poirrier, je parlerai de mon dernier livre (réalisé avec Giulia Conte pour l'iconographie) Les stars du rock au cinéma (Armand Colin 2011) le 18 octobre 2011 à Dijon.
Dans le cadre des conférences Cultures et Sociétés, organisées par la Maison des Sciences de l'Homme, je présenterai la problématique développée dans le bouquin (y a t-il une spécificité des stars rock à l'écran ?) assortie de nombreux extraits de films et de photos.
C'est donc le 18 octobre, de 17 h à 19 h au Campus de Dijon - amphithéâtre du Pôle Eco-Gestion.
(en cliquant sur le lien ci-dessus vous aurez toutes les infos pratiques)

mercredi, août 10, 2011

Télégramme d'été #2


Les actes du colloque Enfance & Cultures organisé par le Ministère de la Culture et de la Communication, l'Association internationale des sociologues de langue française et l'Université Paris Descartes et qui s'est tenu en 2011 sont en ligne ici.
Ma contribution, qui évoque les apprentissages musicaux, est ici (rubrique "articles et interventions")

Et à part ça, bonne rentrée.

vendredi, juillet 15, 2011

Télégramme d'été : naissance d'un réseau d'étude du rock prog

Ci-dessus la pochette du premier disque (1974 Virgin) d'Hatfield and the North

Alors qu'il avait été balayé par la génération indé et considéré comme démodé et vaincu par les ouvrages historiques sur le rock (souvent rédigés par les premiers), le rock progressif effectue un intéressant retour depuis quelques années. Cette galaxie de musiques intéresse des groupes actuels (par exemple le groupe Porcupine Tree ou les métaleux Tool, fans de King Crimson), des acteurs/réalisateurs liés au rock l'utilisent dans leurs films (par exemple Vincent Gallo), des DJ(s) de techno citent du prog dans leurs playlists et le remixent, un des groupes de rock actuels les plus populaires (Radiohead) pourrait être considéré comme une sorte de formation progressive, de même que plusieurs générations d'auditeurs redécouvrent ce style. Un phénomène attesté par le nombre de plus en plus croissant de cover bands, des formations qui reprennent le répertoire des “dinosaures” prog (Yes, Genesis, King Crimson etc. ), et même par les hybridation(s) entre formations historiques et cover bands. Ainsi, le groupe Yes a récemment recruté à la place de son chanteur historique, Jon Anderson, un jeune vocaliste issu d'un groupe de reprises de Yes, découvert via Youtube. De même, le groupe canadien The Musical Box reinterprète en concert les premiers disques et spectacles de Genesis, bénéficiant pour cela des archives musicales et graphiques du groupe. Dans un même ordre d'idées, des anciens de King Crimson ont effectué des tournées (et des enregistrements) sous le nom de 21 St Schizoid Band (une chanson du 1er disque de la formation). Ce qui (me) fascine ici c'est, qu'à des degrés divers, ces différentes formations imitent presque parfaitement leurs modèles et en tout cas que les gens qui viennent les écouter viennent chercher là quelque chose du passé.
Au-delà des groupes vedettes, la circulation de la musique sur le Net -et particulier via les blogs- met également à jour des centaines de formations anciennes et actuelles issues de très nombreux pays.
C'est dans ce contexte, qu'un réseau international de chercheurs -auquel j'appartiens- s'est constitué à l'initiative
du musicologue britannique Allan Moore. Outre que j'ai toujours aimé et revendiqué l'héritage de cette musique, l'étude du rock progressif m'intéresse parce qu'elle permet de poser une série de questions passionnantes sur les étiquettes stylistiques, (c'est quoi prog ?) la localisation des genres musicaux (celui-là étant censé être principalement britannique), la façon dont les enregistrements et les images des formations rock sont reproduits et surtout la place des vaincus dans l'histoire de l'art. Ce réseau intitulé ACADPROG dispose désormais d'un site (hébergé par l'Université de Bourgogne) et organisera un congrès à Edinburgh (Écosse) l'année prochaine. J'y reviendrai mais en attendant vous pouvez accéder au SITE

dimanche, mai 15, 2011

Colloque d'Avignon Travail et création artistique en régime numérique et nouvel article












Le 25 mai à 11h, je présente une communication intitulée " quand l'amateur rend le numérique analogique" lors des journées intitulées Travail et création artistique en régime numérique. Ce colloque se tient du 24 au 27 mai à l'Université d'Avignon et s'accompagne de plusieurs manifestations dans la ville.
Par ailleurs, ma recension du (passionnant) livre de Catherine Pessin sur la microélectronique à Grenoble, publiée dans la Revue d'Anthropologie des Connaissances, est en ligne ici


mardi, avril 12, 2011

Nouveau livre, cycle de films à Paris et rencontre le 29 avril
















Le 20 avril, les Éditions Armand Colin publieront mon nouveau livre (réalisé en collaboration avec Giulia Conte pour la partie iconographique) :
Les stars du rock au cinéma. Le livre s'intéresse à la façon dont une série de rock stars américaines et britanniques, célébrées et/ou oubliées, ont participé à des films et plus généralement à l'apport des rock stars au cinéma. Publié dans la collection Albums Cinéma dirigé par Michel Marie, l'ouvrage comprend un grand nombre d'illustrations ; photos de tournages, photos de plateau, affiches d'époque, pochettes de de disques etc.
Télécharger l'introduction et le 1er chapitre
  • À cette occasion, je présenterai le film de Jim Jarmush Down by Law (avec notamment Tom Waits et John Lurie) et le livre le 29 avril à 20h au cinéma Grand Action 5 rue des Écoles Paris 75005 à 20 h.
  • Par ailleurs du 27 avril au 2 mai le même Grand Action présente chaque jour un film et une star évoqués dans le bouquin. Certains films sont très rares (par exemple Stop Making Sense de Jonathan Demme avec les Talking Heads ou la Cicatrice Intérieure de Philippe Garrel avec Nico), d'autres bénéficient de copies neuves comme Performance (de Donald Cammel et Nicholas Roeg avec Mick Jagger et Anita Pallenberg) ou Two-Lane Blacktop de Monte Hellman (admirable film avec James Taylor et Dennis Wilson). Voici le détail de la programmation :
JAILHOUSE ROCK (Le Rock du bagne) de Richard Thorpe
mercredi 27 avril 14h 16h 18h 20h 22h
STOP MAKING SENSE de Jonathan Demme
Jeudi 28 avril 14h 16h 18h 20h 22h
DOWN BY LAW
de Jim Jarmush
Vendredi 29 avril 14h 16h 18h 20h (soirée signature cocktail)
ALICE DOESN'T LIVE HERE ANYMORE (Alice n'est plus ici) de Martin Scorsese
Samedi 30 avril 14h 16h30 19h 21h30
MACADAM A DEUX VOIES (Two-lane blacktop) de Monte Hellman
Dimanche 1er mai 14h 16h 18h 20h 22h
PERFORMANCE de Nicolas Roeg et Donald Cammell
Lundi 2 mai 16h30 19h 21h30
LA CICATRICE INTERIEURE de Philippe Garrel
Mardi 3 mai 14h 15h15 16h30 17h45 19h 20h15 21h30 22h45

mercredi, mars 16, 2011

Plein feux sur le rock ; le 28 mars à Avignon
















À l'invitation de la Bibliothèque Universitaire d'Avignon et dans le cadre de la manifestation plein feux sur la poésie qui se déroule actuellement, je présente une conférence intitulée "les feux du rock" dont voici la présentation :
Dès ses débuts, au milieu des années cinquante, la musique rock a été associée à l'énergie, l'intensité et parfois même l'excès. D'une façon générale et pour employer le langage faustien, le rock résulte d'un pacte entre les auditeurs, les artistes et les techniciens et l'électricité, une force qui permet aussi bien de produire des artifices que du naturel. Cette conférence assortie d'extraits musicaux et de films s'intéressera justement à la « nature » de ce pacte, à ses manifestations et à sa généalogie.
Ce sera donc le lundi 28 mars à 17 h (Vidéothèque, Bâtiment Sud) à l'Université d'Avignon

mercredi, mars 02, 2011

9 mars à Paris : la dimension culturelle de la métropolisation francilienne





















La dimension culturelle de la métropolisation francilienne : tel est le titre du séminaire (public) organisé par le programme interministériel de recherche Culture et Territoires en Ile de France le 9 mars à l'Institut National de l’Histoire de l’Art (INHA)
Auditorium de la galerie Colbert 2, rue Vivienne - 75002 Paris - Métro : Bourse

Comme deux autres chercheurs -euses (Gwenaële Rot et Ludovic Halbert) j'y présenterai les deux recherches de terrain que j'ai menées pour ce programme : l'une sur l'apprentissage des musiques populaires (en 2005/2007) et l'autre sur le blogging musical (2008/2010). Des acteurs des politiques publiques, et d'autres universitaires dialogueront avec nous lors de trois tables rondes dont voici ci-dessous les intitulés et les horaires.



La dimension culturelle de la métropolisation francilienne
Interroger les dimensions culturelles de la métropolisation francilienne, tel est l’enjeu du programme de recherches territorialisées“ Culture et territoires en Ile-de-France ” lancé en 2003. Les travaux menés dans ce cadre peuvent en effet alimenter les réflexions actuelles sur le Grand Paris autour de deux aspects constitutifs de la métropolisation : la contribution de la
culture aux nouvelles dynamiques économiques, à la fois globales et territoriales, dans lesquelles la créativité joue un rôle désormais reconnu et le rôle de la culture dans les transformations de
l’organisation spatiale d’une région urbaine caractérisée par la très forte centralité urbaine et culturelle parisienne. Conçu comme un moment de débat entre chercheurs et acteurs des politiques culturelles, de développement économique et d’aménagement, le séminaire vise à
renouveler l’approche des enjeux culturels de la métropolisation francilienne en prenant le parti
de proposer trois discussions thématiques particulières, avec le risque, assumé, de laisser dans
l’ombre d’autres pistes d’analyse.

9 H ACCUEIL
9 H 30 OUVERTURE
Muriel Genthon, Directrice régionale des affaires culturelles d’Île-de-France
Emmanuel Raoul, Secrétaire permanent du Plan Urbanisme Construction Architecture

INTRODUCTION DU SÉMINAIRE
Renaud Epstein : Univ. de Nantes

10 h
TABLE RONDE 1 : ▪ Faut-il encore équiper la métropole ?
Des équipements culturels, il est attendu qu’ils contribuent dans un même mouvement à la démocratisation et à l’excellence culturelle, à la production d’une identité locale et d’une image attractive à l’extérieur. Autant d’attentes qui méritent d’être interrogées dans un contexte métropolitain marqué par le maillage fin assuré par de tels équipements collectifs, la concurrence des événements culturels et l’importance croissante de l’équipement numérique
individuel dans les processus de création et de diffusion. Au-delà, de nouveaux équipements,
dédiés non plus aux publics mais aux professionnels des industries créatives, n’apparaissent-ils pas dans le paysage culturel francilien, et avec quelles conséquences ?
Chercheurs : Gwenaële Rot (Univ. Paris Ouest Nanterre), François Ribac (Univ. de Metz, 2L2S)
Discutant : Gilles Jeannot (ENPC - LATTS)
Grand témoin : José Manuel Gonçalves (directeur du “ 104 ”)
11 h 15
PAUSE

11 h 30
TABLE RONDE 2 : ▪ Les acteurs et les réseaux de la ville créative
La thématique de la “ ville créative ” connaît un vif succès dans les politiques culturelles, d’aménagement urbain et de développement économique conduites dans la région, alors même qu’un certain flou demeure quant aux liens entre métropolisation et processus créatifs. Les recherches du programme permettent de clarifier la notion de métropole créative, en révélant l’importance des réseaux sociaux et techniques au travers desquels s’opère la traduction de la créativité métropolitaine en oeuvres artistiques et produits culturels.
Chercheurs : François Ribac (Univ. de Metz, 2L2S), Ludovic Halbert (ENPC – LATTS), Amanda Brandellero (Univ. d’Amsterdam). Discutant : Charles Ambrosino (Institut d’Urbanisme de Grenoble). Grand Témoin : en attente de confirmation
12 h 45
DÉJEUNER
14 h 30

TABLE RONDE 3 : De l’administration des affaires culturelles à la gouvernance métropolitaine des activités créatives"
Si les pratiques culturelles gagnent probablement à ne pas être gouvernées, la prolifération organisationnelle et la fragmentation corollaire des ressources de la métropole francilienne, la complexité et la labilité des problèmes qui s’y manifestent posent des défis majeurs à l’action publique. Les enjeux de l’intervention culturelle dépassent aujourd’hui le soutien à la création artistique et la démocratisation de l’accès aux oeuvres. Au-delà de l’institution d’un certain ordre culturel (prescription), il s’agit désormais de réguler le désordre (intermédiation) en articulant de multiples initiatives publiques et privées, pour construire une capacité d’action collective dans la métropole.
Chercheurs : Ludovic Halbert (ENPC – LATTS), Gwenaële Rot (Univ. Paris Ouest Nanterre)
Discutant : Patrick Le Galès (CNRS-Sciences Po), Grand Témoin : Françoise Billot (Directrice du Pôle ressources d’Arcadi)

16h / 17 h
SYNTHÈSE ET DÉBAT

mercredi, février 16, 2011

rock et cinéma (encore et toujours)

En 2004, j'ai dirigé un numéro de la revue Volume consacré aux relations entre le rock et le cinéma. Ce numéro spécial est sorti en même temps que je programmais un cycle de films au cinéma l'Entrepot dans le cadre du Festival Paris-Cinéma (qui a par ailleurs largement financé le numéro de Volume).
Les éditions Mélanie Seteun ont récemment mis en ligne l'intégralité des articles signés (par ordre d'apparition) par des musiciens, des critiques de cinéma, des cinéastes, des universitaires, des journalistes :

François Ribac (compositeur et à l'époque apprenti sociologue)
François Ribac et Thierry Jousse (cinéaste et critique)
Jérome Didelot (du groupe Orwell)
Cyril Neyrat (critique)
Jean-Marc Leveratto (universitaire)
Christian Bart (universitaire)
Laurent Jullier (universitaire)
Serge Grünberg (écrivain et critique)
Claudine Eizykman (réalisatrice et universitaire)
Philippe Le Guern (universitaire et musicien)
Sylvain Siclier (critique)
François Gorin (critique)
Le sommaire et tous les articles à télécharger sont ici

mardi, janvier 04, 2011

Rock et cinéma : conférences à Rouen en janvier/février
















Menu de rentrée

Une conférence le 15 janvier 2011 à 15 h à Rouen au 106
-la toute nouvelle salle de rock- sur la filiation rock et cinéma suivie de la projection de Welcome To Portishead un passionnant documentaire de Pascal Signolet de 1998.

Deux présentations de films toujours à Rouen les 25 janvier et 1er février à 19 h 15 mais cette fois-ci au cinéma Omnia (lui aussi récemment ouvert)

Le 25 janvier à 19 h 15 : Stars du rock en personnages de fiction

PERFORMANCE
De Donald Cammell et Nicolas Roeg - 1970, Royaume-Uni, 1h45 - Avec James Fox, Mick Jagger, Anita Pallenberg, Michèle Breton.
DOWN BY LAW
De Jim Jarmusch - 1986, Allemagne, Etats-Unis, 1h43 - Avec Tom Waits, John Lurie, Roberto Benigni.

le 1er février à 19 h 15 : On The Road

DIG!
Documentaire de Ondi Timoner - 2004, Etats-Unis, 1h47 - Avec les groupes The Dandy Warhols et The Brian Jonestown Massacre

MACADAM A DEUX VOIES
De Monte Hellman - 1971, Etats-Unis, 1h42 - Avec James Taylor, Warren Oates, Laurie Bird, Dennis Wilson (batteur et chanteur des Beach Boys)

Les horaires, itinéraires et présentations sur les sites du 106 et de l'Omnia